La dépression, les troubles de l’anxiété et les problèmes liés au stress sont les motifs de consultation médicale dont la croissance est la plus rapide, selon 63% des…
Tandis que la psychanalyse fait son apparition dans l’accompagnement au sein de l’entreprise dans le prolongement d’une démarche analytique classique centrée sur le(s) problème(s) rencontré(s) dont on…
Inspirez. Expirez. Répétez la séquence en silence pendant deux minutes. Ça va mieux? Les 500 élèves de l’école secondaire Saint-Patrick tenteront de chasser le stress et l’anxiété d’ici la fin de l’année en pratiquant cet exercice simple tous les jours.
«Le stress, c’est vraiment une problématique grandissante dans nos écoles présentement. On vit dans une société de performance, et les jeunes le ressentent», soutient André Gosselin, directeur de l’école anglophone Saint-Patrick, au centre-ville de Québec.
Des jeunes en détresse, qui vont bien à l’école «et qui, tout à coup, s’écroulent», M. Gosselin en a vu défiler plusieurs dans son bureau. Les études récentes stipulent qu’entre 15 % et 20 % des jeunes du secondaire sont anxieux. Peur de décevoir, de ne pas réussir son examen, de ne pas être à la hauteur lors d’un match ou d’un spectacle: les facteurs de stress sont nombreux.
GPS pour l’être humain
C’est pourquoi M. Gosselin n’a pas hésité une seconde lorsque Marc Mignault, président fondateur de M4Édition, est venu lui présenter son «GPS pour l’être humain», soit un guide de pratiques santé. En version papier ou électronique ou sous forme d’application, le guide aide l’enseignant à préparer les jeunes à ces deux minutes où ils seront invités parfois à se remémorer un moment heureux, parfois à se concentrer sur les battements de leur coeur ou le tic-tac de l’horloge. «Chaque activité qu’on propose repose sur des bases scientifiques», dit M. Mignault, qui collabore avec des chercheurs de l’Université Laval.
«Le but, c’est de prendre le contrôle sur nous-mêmes. De réaliser qu’on n’est pas obligés d’être stressés tout le temps», a expliqué Rosalie Lapierre au micro, devant ses camarades réunis dans le gymnase pour le lancement du GPS humain…
L’école qui apprend à vivre…à bien vivre…et se commet à donner des moyens. C’est dans cette première période de la vie, une période où les êtres sont encore en entrainement, cette période me parait la plus appropriée pour se pratiquer et être mieux équipé pour rentrer dans le jeu, rentrer dans la danse…Cela commence au commencement, à la base…
Laurent Foezon
Coach de performance mental, de gestion et coach de vie
Formateur
PNL et hypnologue
Montreal,Longueuil, rive-sud, international, et en ligne
Audace, inventivité, souplesse, authenticité… Tout le monde s’accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier.
Quand on parle d’innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ?
Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d’une entreprise où :
les missions que l’on vous confie sont passionnantes ?les relations sont authentiques et basées sur la confiance ?vous disposez d’un niveau d’autonomie et de liberté suffisant ?les équipes sont solidaires et les collaborations entre services constructives ?
Est-ce le cas ?
Bien que 85 % des dirigeants estiment que l’innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n’y accordent qu’environ 10 % de leur temps [i]. Si 54 % des collaborateurs suggèrent de nouvelles idées à leurs managers, seulement 11 % d’entre elles sont prises en considération [ii].
Le management : parent pauvre de l’innovation
Selon un sondage Ipsos de 2013, l’innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l’effectif. Les autres fonctions ne seraient-elles pas concernées par la recherche de nouvelles idées ? Quand on parle d’innovation, on pense en premier lieu aux innovations technologiques ou à la création de nouvelles offres. D’ailleurs, les classements des entreprises innovantes sont basés sur le nombre de brevets déposés et en cela, il est vrai, la France est le 3ème pays le plus innovant au Monde [iii]. Mais très rares sont les décideurs qui parlent d’innovation managériale. Et lorsqu’il est état d’innovation managériale, les évolutions portent avant tout sur l’organisation et les systèmes d’information. Les « principes collaboratifs » arrivent en dernière position alors que c’est très certainement dans cette direction que se situe la véritable (r)évolution du management.
En effet, il ne suffit pas de « greffer » une nouvelle théorie de management pour qu’elle prenne, il faut que tout le corps l’accepte.